Arcitecta veut casser les silos de données et se présente comme un éditeur de logiciel de gestion de données pour les très grands environnements.

Les grands environnements de données peuvent devenir de véritables capharnaüms géants qui peuvent engendrer le chaos et surtout rendre difficile l’accès aux données et leur administration.

Le principe de base de la solution Mediaflux développée par Arcitecta est relativement simple : insérer une couche d’intermédiation entre l’utilisateur doté d’une interface de requetâge et les différents silos de données. Cette couche qui joue un rôle de virtualisation des données ne prend en compte que les métadonnées et les politiques de gestion qui leur sont attachées pour permettre d’accéder aux données. Mediaflux est construit sur XODB, une base de données NoSQL fondée XML offrant à la fois performance et scalabilité. Le système extrait automatiquement les métadonnées de très nombreux types de fichiers (NetCDF, BMP, GIF, JP2, JPEG, PCX, PNG, TIFF, DICOM, DOC, DOCX, PDF, DPX, NITF, CIB, MrSID, DTED, LIDAR, CADRG and ERDAS IMG, JPG2000, TIFF, GeoJPG, GeoPDF…).

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En aucun cas, Mediaflux ne modifie ou transforme les données existantes type de données et de métadonnées Mediaflux se définit comme une solution sécurisée, multi-utilisateur pour collecter, gérer et découvrir n’importe quels que soient les matériels et les systèmes d’exploitation. Mediaflux autorise une visualisation globale des données et des métadonnées à la fois aux niveaux applicatifs et de l’infrastructure.

Pour l’heure, Arcitecta se concentre sur les très grandes entreprises ou organisations. A ce jour, elle fait état d’une quarantaine de clients dont beaucoup sont australiens – dont le ministère de la défense australien – car Arcitecta est un éditeur de logiciel australien, un fait suffisamment rare pour être mentionné. A ce jour, les environnements de données qui sont traités comportent quelques 7 milliards d’éléments, A terme, Arcitecta vise 50 milliards d’éléments.