Bienvenue sur le plateau d’InformatiqueNews pour notre rendez-vous hebdomadaire qui donne la parole aux responsables des entreprises et des acteurs de IT. Aujourd’hui, nous recevons le président de Microsoft France, Carlo Purassanta.
Pour découvrir l’intégralité de l’interview visualisez la vidéo ci-dessous :

Tout d’abord, comme chacun de nos invités, Carlo Purassanta, revient sur l’actualité qui l’a marqué lors des semaines passées, en l’occurence les mouvements sociaux qui agitent le pays.

Puis avec Guy Hervier ils reviennent sur l’actualité de Microsoft :

  • Lorsqu’il est arrivé à la tête de Microsoft en remplacement de Steve Ballmer, Satya Nadella a lancé une nouvelle stratégie résumée dans le slogan : « mobile-first et cloud-first ». 5 ans après, on pourrait dire mission à moitié accomplie. Si sur le cloud, Microsoft est désormais le n°2 du cloud derrière AWS, sur le mobile, Microsoft a disparu du monde mobile. Est-ce un problème alors que le mobile concentre de plus en plus de développeurs et d’innovation ?
  • Sur le cloud, Azure entend-elle être une plate-forme neutre en termes de technologie ou au contraire mettre en avant les technologies Microsoft (dans cette direction, VMware et Microsoft ont annoncé une collaboration pour mettre la solution de virtualisation sur Azure) ?
  • Des entreprises (françaises) ont-elles migré toute leur informatique sur Azure, comme c’est le cas avec AWS (en dehors d’Office 365 et de Dynamics) ?
  • Quels sont les atouts et les spécificités de Microsoft France si l’on compare par exemple à l’Italie que vous avez également dirigé ?
  • On parle beaucoup de l’IA( Plan IA de septembre 2018, le centre de développement dédié à l’Intelligence Artificielle, Bureau Veritas et Microsoft annoncent la signature d’un partenariat mondial pour lancer des services d’essais basés sur l’intelligence artificielle). Pouvez-vous faire un point sur toutes ces initiatives ?
  • Satya Nadella à déclaré au MWC : « Ten years from now we won’t have these differentiations between what is the tech industry and isn’t the tech industry, » mais paradoxalement GE qui voulait devenir une software company y a renoncé. Qu’en pensez-vous ?
  • On parle d’effet Nadella sur la valorisation de l’entreprise mais n’y a-t-il pas un paradoxe si l’on considère uniquement l’évolution des 2 indicateurs financiers (2014-2018 : une croissance moyenne du CA de 6 % vs 2010-2014 : une croissance moyenne du CA de 8 %) ?