La géopolitique, mais aussi Internet. Car Houellebecq n’est guère plus prospectiviste sur le numérique qu’il ne l’est sur la diplomatie.
On se souvient de la polémique qu’il avait connue à propos de Wikipédia après la parution de La Carte et le territoire en 2010. Accusé de plagiat, il avait finalement reconnu ses emprunts et remercié l’encyclopédie collaborative dans la réédition en poche du roman. Plus récemment, on a constaté que Soumission était très largement accessible sur Internet, de manière piratée, même avant sa parution chez Flammarion. Houellebecq a toujours entretenu des liens complexes avec le web. Mais ce n’est pas tant sur ce sujet que Frédéric Martel, , directeur de recherche à l’Iris, animateur à France Culture de l’émission «Soft Power» et auteur entre autres de Mainstream. Il présente la connaissance plutôt pauvre et incomplète qu’à l’auteur d’Internet.
Pour lire l’article dans Slate.fr