Comment transformer son système d’impression et modifier l’environnement de travail de plusieurs dizaines de milliers de salariés ? Pour répondre à ces questions, le groupe Veolia a fait appel à Lexmark, son fournisseur de solutions d’impression.

L’impression constitue l’un des éléments centraux de cette transformation. « Les systèmes d’impression font complètement partie des infrastructures locales que nous cherchons à faire disparaître. La suppression de ces infrastructures locales dans nos 4000 sites est la principale source d’économie et d’amélioration de la sécurité de notre environnement de travail », plaide Philippe Benoît, directeur du projet Satawad chez Veolia. L’arrêt des serveurs à mettre à jour et à maintenir en condition opérationnelle permettra à Veolia de réaliser des économies substantielles.

Vidéo publiée en partenariat avec Lexmark

Veolia a choisi de faire confiance à Lexmark pour ses outils cloud et ‘serverless’ et à sa capacité à prendre en charge les chromebook de l’entreprise. Les deux entreprises ont œuvré de concert pour développer une solution SaaS répondant aux besoins de Veolia. A ce jour, cette solution est déployée sur le siège de Veolia à Aubervilliers et employée par les 1000 utilisateurs que compte le site. « La solution, payée à l’usage, s’avère très facile à utiliser et à administrer », assure Philippe Benoît.  Elle est, en outre, accessible sur la totalité des terminaux de l’entreprise.

La multinationale veut également faire évoluer l’environnement de travail des salariés du groupe en leur permettant de travailler en mobilité et en toute sécurité. « Le projet Satawad [Secure anytime, anywhere, any device] vise à transformer l’environnement de travail de nos salariés et de mettre de leur disposition un poste de travail plus moderne, plus sécurisé et plus économique », explique Philippe Benoît, directeur du projet Satawad chez Veolia.

D’abord, il s’agit de favoriser le travail collaboratif entre les salariés tout en renforçant leur mobilité. Ensuite, le groupe souhaite augmenter sa résistance aux attaques, virales, toujours plus nombreuses et plus menaçantes, d’année en année. Enfin, la baisse des coûts figure elle aussi au nombre des objectifs que le Veolia s’est assigné. L’infrastructure doit, à terme, être moins onéreuse et occasionner un impact plus réduit sur l’environnement.

La prochaine étape pour Veolia ? Déployer le projet Satawad dans plus de 50 pays et pour l’ensemble des utilisateurs du groupe.