Alors que la situation sanitaire s’améliore doucement après une période de confinement, les activités et la production industrielle commencent à redémarrer dans la plupart des secteurs d’activités avec des nouvelles contraintes et de nouveaux gestes barrières à mettre en place pour éviter la deuxième vague tant redoutée.

Selon les termes du Président de la République, « nous sommes en guerre ». Ces mots, très forts, démontrent la nécessité de lutter, d’abord contre l’ennemi biologique qui décime nos aînés, mais aussi et surtout contre un « ennemi économique », qui risque de plonger durablement notre société dans la récession.

Plusieurs mesures de soutien aux entreprises les plus vulnérables ont été mises en place par le gouvernement, dans le but de défendre notre tissu économique. Elles sont certainement nécessaires à la survie de nombreuses structures.

Toutefois, elles ne représentent qu’une partie de la solution, axée essentiellement sur la « défense », incarnée principalement par des mécanismes de mise en léthargie, voire de « coma économique artificiel », des organisations les plus fragiles, pour les préserver, et sauvegarder l’emploi et les compétences de leurs salariés.

Si vraiment, nous sommes en guerre, il faut aussi penser à mener la contre-attaque, c’est-à-dire à préparer le redémarrage économique, en anticipant les besoins qui seront nécessaires le moment venu. Cela implique d’agir, apparemment contre toute logique, à contre-courant du pessimisme et de la morosité ambiante, et de mobiliser des moyens dirigés vers le (re)-développement d’activité.

La violence de la première vague étant quasiment éteinte, il nous faut aussi préparer la contre-attaque par un redémarrage économique, en anticipant les besoins qui seront nécessaires le moment venu. Cela implique d’agir, apparemment contre toute logique, à contre-courant du pessimisme et de la morosité ambiante et de la crainte d’un second confinement, et de mobiliser des moyens dirigés vers le (re)-développement d’activité souveraine.

Les fondamentaux qui servaient de base à l’activité du pays vacillent. Voilà un formidable défi pour nos entreprises : stabiliser la situation,  construire de nouvelles bases, et impulser un nouvel élan.

6cure s’inscrit dans cette logique, et prévoit donc d’augmenter ses effectifs, pour être totalement en capacité de d’accélérer sa croissance et d’accompagner ainsi le redémarrage économique du pays, lorsque l’heure de cette contre-attaque sonnera. C’est la raison pour laquelle l’entreprise va publier très prochainement plusieurs offres de postes en Développement Logiciel.

 

Baptiste Brault, ingénieur chez 6cure et Fabrice Clerc, Président de 6cure