Trois programmes dédiés à l’internet des Objet arrivent chez SAP.
Outre la maintenance prédictive, la firme a introduit la logistique connectée et une nouvelle version de son programme d’intégration des flux du secteur manufacturier .
Niels Hersberg, responsable de l’internet des Objet chez SAP (photo) nous confiait lors de la conférence développeurs de Berlin : « Pour nous, bien sur, l’internet des objets sous tend des collectes d’informations à grande échelle. Ce n’est pas du B to C, l’administration des objets à maison, par exemple, car l’internet cela reste pour nous un objectif de grandes applications transactionnelles.
Pour l’internet des objets ,chacun peut avoir approche verticale. J’étais la semaine passée en Chine sur un conférence sur l’IOT et au bout de quelque heures de discussions, le sujet était essentiellement « la ville connectée ». Car depuis qu’ils ont du fermer des écoles pour cause de pollution, c’est devenu un sujet politique important. Il y’a des économies à faire sur l’électricité, le chauffage et bien sur l’administration des déchets ». Nous on se focalise sur des sujets par métiers et l’on cherche à répondre à des problèmes d’échanges transactionnels importants »
Pour Niels Hersberg, les trois nouveaux outils introduits par SAP visent des segments précis: maintenance prédictive et service, Logistique connectée et les offres d’exécution dans la SAP fabrication. « Nous visons des applications qui renforcent les liens avec nos clients actuels. Avec la maintenance prédictive, les techniciens de Lufthansa, par exemple, peuvent exploiter précisément les milliers de données issues des moteurs et optimiser leurs interventions.
La logistique connectée en pointe
Interrogé sur le lancement produit de logistiques connectées alors qu’il existe déjà des dizaines de bons logiciels spécialisés dans le domaine, qui remplissent à eux seuls chaque année, deux grand halls du Cebit,le plus grand salon informatique mondial, Niels Hersberg précisait : « C’est vrai,mais aucun de ces fournisseurs n’a d’interfaces vers une plate-forme qui converse simplement avec des outils de front office dans le cloud. Pas mal d’entreprises de transports aimeraient interconnecter leurs outils avec d’autres systèmes. Ainsi quand le port de Hambourg veut optimiser le trafic des camions dans son « hub » pour exploiter le moindre mètre carré, il s’adresse à nous pour proposer de solutions car actuellement c’est la surface des quais qui limite son activité. Il faudra que les outils puissent s’interfacer avec une base de données relationnelles dans le cloud »