Rapidité de mise en œuvre, simplicité d’administration et performance, Nicolas Boivin revient sur son choix de l’hyperconvergence et de la solution HPE Simplivity.

Dans quel contexte le projet de l’hyperconvergence a t-il vu le jour ?

En janvier 2016, nous avons commencé à étudier le renouvellement de notre infrastructure virtuelle, de type traditionnel, car elle arrivait au terme de son contrat de location. Nous avons rédigé un cahier des charges et interrogé le marché. Deux de nos interlocuteurs nous ont proposé des o­ffres d’hyperconvergence. Nous avons été rapidement séduits par cette technologie, que nous ne connaissions pas jusque-là. Au fur et à mesure de l’avancement du projet, nous avons réalisé qu’il allait nous être nécessaire de disposer d’un cœur de réseau à 10 Gb/s. Nous avons donc choisi de décaler le projet initial, pour privilégier le cœur de réseau et ses prérequis, afin d’accueillir une infrastructure d’hyperconvergence par la suite. En janvier 2017, soit un an plus tard donc, nous avons repris le dossier Infrastructure. Nos 3 interlocuteurs cette fois nous ont proposé de l’hyperconvergence.

« Nous avons été séduits par la rapidité de mise en œuvre, la simplicité d’administration, la capacité de nous offrir un PRA et un PCA performants » parole rapportée de Poujoulat.

Pour quelles raisons avez-vous opté pour l’hyperconvergence ?

Nous étions précédemment sur une infrastructure traditionnelle : des SAN, des ESX, des switchs Fibre… Avec l’hyperconvergence, nous avons été séduits par la rapidité de mise en œuvre, la simplicité d’administration, la capacité de nous off­rir un PRA et un PCA performants, ce que nous n’avions pas précédemment avec notre architecture traditionnelle. Par ailleurs, un point important de notre cahier des charges était la mise en place d’un PRA et d’un PCA, dont nous ne disposions pas précédemment. Notre infrastructure ayant évolué rapidement, nous avions dû mettre en production nos deux SAN dans les deux salles. Il était donc primordial pour nous de disposer d’un PRA et d’un PCA fiables et performants, pour assurer la continuité d’activité de nos besoins-métiers, ce que permet l’hyperconvergence.

Quel a été le processus de sélection de la solution ?

Suite à notre appel d’off­res, nous avons reçu trois propositions d’hyperconvergence, associées aux principaux leaders du marché (HPE SimpliVity, Nutanix, VMware). Nous avons fait le choix, chez Poujoulat, de maquetter les 3 solutions en situation réelle. L’inconvénient majeur de ce processus est le temps qu’il faut y consacrer : deux à trois mois de travail ont été nécessaires. Mais on en retire un avantage considérable, en ayant la possibilité de choisir la solution qui nous convient le mieux. Par ailleurs, les techniciens ont vraiment pu « mettre les mains dans le cambouis » comme on dit, et appréhender la solution qu’ils allaient administrer dans le futur. De ce fait, ce sont bien les techniciens qui ont choisi la solution, ce qui a garanti leur adhésion pleine et entière lors de sa mise en œuvre.

 Comment avez-vous été accompagnés ?

L’intégrateur Novahé a tout d’abord su être force de proposition sur l’hyperconvergence très tôt dans notre projet, au regard de notre cahier des charges, en pointant le fait que cette solution convenait à nos besoins. Lors de la phase de maquettage, puis lors du déploiement, nous avons constaté rapidement que le technicien qui nous accompagnait connaissait parfaitement son logiciel, il était disponible, accessible et par ailleurs très soutenu par son éditeur. Nous nous sommes sentis accompagnés de bout en bout sur l’intégration et la mise en production. Cet accompagnement perdure à ce jour, car nous échangeons régulièrement avec Novahé, notamment sur de nouveaux projets.

Ce temps consacré au maquettage en amont a été bien investi car la mise en production a été très rapide. Elle a duré en tout et pour tout une semaine. Nous avons déployé tous les équipements en une demi-journée : les 4 nœuds ont été déployés dans nos deux salles en quelques heures. Nous avons par ailleurs migré « à chaud » en pleine journée toutes les VM de notre ancienne architecture vers la nouvelle, sans interruption de service. C’est même un peu frustrant, nous en reparlons occasionnellement avec l’équipe IT, car pour une opération de cette envergure, nos collègues ne s’en sont pas rendu compte. D’un autre côté, c’est très valorisant car en une semaine, nous avons migré 130 VM environ.

Après un an d’utilisation, nous sommes très satisfaits de notre décision. Nous n’avons eu aucun incident sur la solution, elle fonctionne bien, elle est performante, nous la considérons comme fiable, les temps de réponse sont très bons et nous continuons à miser sur elle : nous sommes notamment en train d’étudier, avec Novahé, une solution pour équiper l’une de nos filiales.

Contenu publié en partenariat avec HPE et Novahé

Interview réalisée par l’agence Common Agency