Comme chaque lundi, notre émission hebdomadaire InformatiqueNews Hebdo nous propose une retrospective l’actualité de la semaine écoulée. Ce lundi 28 octobre, Guy Hervier, le rédacteur en chef d’Informatique News revient sur les sujets les plus chauds depuis nos studios de La Défense. Au sommaire de cette émission :

En Bref

00:37 HPE accélère sur son offre Greenlake. Il s’agit de la deuxième vague de cette gamme. Cette nouvelle offre s’inscrit dans le modèle « as a service », les utilisateurs payant ce qu’ils consomment.

02:02 Selon une enquête d’IDC commanditée par BMC, neuf personnes sur dix estiment que le mainframe a encore de l’avenir. 70% des personnes interrogées dans le cadre de cette enquête ont indiqué la survenue de panne dans les 12 derniers mois.

03:32 Western digital continue à innover dans le domaine des disques magnétiques. Le constructeur s’apprête à sortir des disques durs mécaniques à base d’hélium. Une technologie d’assistance d’écriture micro-ondes intègrera les prochains disques durs 20 To du fabricant.

05:22 Microsoft et SAP signent un nouveau partenariat plus poussé. Les deux solutions cloud des éditeurs, respectivement Azure et Cloud Platform disposeront d’un support conjoint.

06:44 Softbank sauve WeWork. L’entreprise était valorisée à plus de 40 milliards de dollars avant de s’effondrer lors de leur introduction en bourse. L’entreprise japonaise dispose de 92% du capital de l’entreprise américaine.

En détail

08:52 D’après une enquête commanditée par Oracle, deux personnes sur trois en environnement professionnel font plus confiance à un robot qu’à leur manager. 2 sur 3 sont enthousiastes et optimistes par rap à IA. Selon eux, les robots dans le domaine de service seront plus performants que leur manager.

La semaine prochaine

11:22 Cloud Expo Europe se tiendra le 27-28 novembre à Paris, porte de Versailles. Comme chaque année, l’évènement rassemblera les acteurs du cloud.

Coup de cœur/coup de gueule.

12:11 Facebook revoit ses plans quant au lancement de Libra, sa cryptomonnaie. Mark Zuckerberg, le patron du réseau social, a assuré ne lancer sa monnaie qu’avec l’accord des autorités américaines.