On s’y perd parfois dans le vocabulaire. Dans un récent billet intitulé What is the difference between white-box, bare-metal, branded bare-metal, and OEM network switches?, le cabinet Forrester propose une petite exeplication de textes pour faire le distinguo entre différentes catégories de switches : principalement entre les bare-metal et les white-box switches.
Les switches propriétaires : jusqu’à une date pas si ancienne, la majorité des switches étaient de ce type et embarquaient des composants ASIC personnalisés et des solutions logiciels propriétaires. Mais la majorité des composants – connecteurrs, ventilateurs, PHYs et capaciteurs – standards. Les bare-metal switches (expression utilisée aussi pour les serveurs) peuvent être achetés nus sans logiciel auprès des fournisseurs.
Les switch bare-metal : ce sont des switches qui sont conçus fabriqués par les ODM (Original Design Manufacturers) comme Alpha Networks ou Accton selon les spécifications d’autres fournisseurs qui les revendent à leur marque (branded bare-metal switches) ou non. Les clients sont censés y ajouter les NOS (Network Operating Systems) qu’ils se procurent séparément Big Switch Light OS, Cumulus Linux OS ou Pica8 PicOS où, comme Facebook, qu’ils développent eux-mêmes. Les éditeurs de NOS fournissent support et services.
Les white-box switches : Ce sont des switches de type commodités intégrant un système d’exploitation réseau et commercialisés comme un système packagé comme par exemple l’OCX1100 de Juniper. Ces switches utilisent le plus souvent des composants standards comme par exemple le Broadcom Trident II.