Une étude récente de Jackson & Coker a ainsi montré que 4 médecins sur 5 utilisent régulièrement leur mobile personnel à des fins professionnels et 69% des infirmières utilisent également leurs smartphones à des fins professionnel et personnel pendant leurs horaires de travail.

Les risques concernent l’accès possible aux données de patients, l’une des plus grandes craintes de l’hôpital face au BYOD. Selon Christophe Jourdet d’Absolute Software, le BYOD a sa place à l’hôpital, sous couvert d’une politique de confidentialité établie.

Au CHU de Nancy, le BYOD est ainsi très loin d’être un sujet secondaire. « Nous réfléchissons à la manière d’utiliser ces équipements », explique Eric Guefney, responsable réseau et télécoms au CHU de Nancy. Au CHU de Rennes, Christine Pichon, RSI, constate l’évolution technologique globale et ne s’étonne pas des besoins exprimés dans le dossier consacré à la mobilité de DSIH. La génération XY exprime selon elle de nouveaux besoins de façon légitime.

(Source : La mobilité et le BYOD dans les établissements de santé)