Micro Focus annonce le lancement d’OPTIC, Operations Platform for Transformation, Intelligence and Cloud, une plateforme au service des opérations IT. Selon l’éditeur, il s’agit d’une « nouvelle solution au service des opérations IT offrant une fonction d’intelligence illimitée intégrée et la possibilité d’optimiser le cloud pour en faire un partenaire à part entière« .
Plus concrètement, cette plateforme vise à réduire la complexité IT en associant automatisation des processus IT et analyse des données générées par les composantes IT. Il ne s’agit pas réellement d’un produit nouveau mais plutôt d’une importante refonte de l’ancienne plateforme ITOM (lancée en 2017) de Micro Focus. De ce que l’on sait, la plateforme regroupe les solutions Asset Management X (et sa nouvelle interface SMAX), COSO Data Lake (renommée OPTIC Data Lake), les outils RPA et Operations Orchestration de l’éditeur, ainsi que les outils de cartographie hybride.
La plateforme veut ainsi unifiée les automatisations IT en proposant en standard des « meilleures pratiques » qui améliorent la productivité, sans nécessiter de développement spécifique et instable.
La mise en oeuvre est accélérée par une fonctionnalité de découverte et de cartographie topologique des environnements cloud et sur site, pour une gestion efficace basée sur les configurations actuelles.
Une interface unique de libre-service utilisateur, assistée par des agents virtuels intelligents, veille à limiter la frustration des utilisateurs, améliorer les délais de réponse et aider les collaborateurs à gagner en efficacité.
Différentes options de déploiement flexibles dans le cloud sont proposées en standard que ce soit sous forme de conteneurs, en tant que service ou sur site, avec la possibilité de passer d’une option à l’autre au besoin.
Selon Micro Focus, la plateforme se compose de bloc modulaires et s’appuie sur un mécanisme de licences flexibles pour des fonctionnalités disponibles à la demande, sans mauvaises surprises sur la facture.
Travis Green, Senior Director, explique ainsi que : « La plateforme IT idéale ne doit pas augmenter la complexité en créant une dette technique pour les activités de maintenance à venir, en générant des coûts supplémentaires pour l’utilisation de l’IA et du machine learning, ou en limitant les capacités à gérer les environnements cloud et traditionnels ».