Kaspersky lance un peu partout dans le monde une nouvelle version de sa solution Endpoint Security Cloud dont la principale originalité est d’aider les responsables IT à combattre le Shadow IT.

La multiplication des services SaaS a souvent permis aux métiers de trouver instantanément des solutions pratiques à leurs problèmes sans passer par les lourdeurs administratives traditionnelles d’acquisition de logiciels et surtout sans passer par les approbations de la DSI.

Dans bien des cas, les IT n’ont découvert que bien trop tard que les solutions SaaS s’étaient multipliées dans leur entreprise aux détriments des bonnes pratiques en matière de cyber-sécurité et d’intégration au système d’informations. Ce Shadow IT est d’autant plus compliqué à détecter que les collaborateurs sont désormais souvent extrêmement nomades, que les applications sont des plus diverses, et que les utilisateurs ont une fâcheuse tendance à ramener dans les murs de l’entreprise des services qu’ils ont découvert chez eux. Le télétravail croissant (et forcé en cette période de confinement) n’aide pas non plus.

Kaspersky intègre dans sa protection des postes une fonctionnalité « Cloud Discovery » qui permet aux entreprises de découvrir les services SaaS utilisés et d’établir une liste de services autorisés et conformes aux règles de sécurité de l’entreprise. Le tout est piloté depuis un tableau de bord central qui permet aux IT de donner des droits en fonction des profils, des groupes d’utilisateurs et des besoins.

Par ailleurs, Kaspersky Endpoint Security Cloud intègre désormais « Kaspersky Security for Office 365 » afin de renforcer la protection des emails mais aussi des espaces de stockage OneDrive et Sharepoint ainsi que des partages sous Teams.

Pour en savoir plus sur Endpoint Security Cloud, voici une petite vidéo de présentation en moins de 2 minutes chrono: