Machine Learning, Blockchain, mais aussi du Low Code « as a service »… Le début d’année démarre fort chez Oracle.
Oracle annonce la disponibilité sur Oracle Cloud de la nouvelle version de son SGBD historique « Oracle Database 21c ».
Cette version « 21c » incorpore plus de 200 nouveautés dont la plus remarquable est sans aucun doute l’introduction de tables inaltérables « en blockchain » pour créer des registres pouvant servir de fondation à des applications blockchains ou d’inspiration blockchains. Intégrées à Oracle Crypto-Secure Data Management, ces tables garantissent que seule l’insertion de nouveaux enregistrements est autorisée et que chacun d’eux est enchaîné aux autres de façon cryptée pour interdire toute falsification et garder leur cohérence temporelle.

Le support des mémoires persistantes « PMEM », aussi bien pour les données que pour la journalisation, est également une nouveauté ancrée dans l’air du temps. De nouveaux algorithmes ont été ajoutés au moteur pour empêcher les stockages partiels ou incohérents dans la mémoire persistante.
De nouvelles fonctionnalités AutoML font aussi leur apparition ainsi que le support d’un type de données JSON natif (pour accélérer par 10 le traitement des données représentées en JSON).

Selon Oracle, Apex est utilisé par plus de 500 000 développeurs dans le monde pour accélérer la création d’applications Web et mobiles exploitant Oracle Database. Désormais, Apex devient indépendant d’Oracle Database et se présente sous la forme d’un service cloud autonome.
Ce service est accessible à partir de 360 dollars par mois, pour un support auprès de plus de 500 utilisateurs et un nombre illimité d’applications. Mais les développeurs intéressés par un développement facile et déclaratif (plutôt que par un codage traditionnel) peuvent commencer à réaliser gratuitement des applications en Low-Code en utilisant le nouveau service APEX Application Development inclus dans Oracle Cloud Free Tier.





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