Le japonais spécialisé dans la cyber sécurité vient de dévoiler les résultats d’une étude plutôt originale. Soucieuse de proposer à ses clients des outils adaptés, l’entreprise a mis en ligne pendant 6 mois une fausse usine 4.0.
Cette fake factory avait tout d’une vraie, avec machines connectées, serveurs réels et virtuels …
Et bien évidemment, des accès et équipements informatiques qui étaient largement accessibles depuis l’extérieur. Comme espéré par Trend Micro, les hackers se sont rués sur ce pot de miel numérique pour y commettre tous les outrages possibles.
Pendant ce temps, les chercheurs de Trend Micro prenaient bonnes notes des tentatives, techniques, moyens et autres méthodes utilisées par les malfaisants pour parvenir à leurs objectifs.
Au final, l’éditeur a réalisé une moisson d’informations plus que pertinentes pour élaborer des protections appropriées aux usines et sites sensibles.
Indépendamment des offres commerciales de protection de sites et des données qu’ils contiennent, Trend Micro (re-) recommande aux entreprises qu’elles ferment les entrées réseaux inutiles et qu’elles durcissent les conditions et contrôles d’accès. Des conseils gratuits et basiques qui constituent effectivement la première ligne de défense.