Neo4j se rappelle à l’attention de tous. La base de données qui a démocratisé les approches en graphe met aujourd’hui en avant ses capacités de montée en charge. Désormais, en combinant des milliers de serveurs sur un même cluster, la base permet de réaliser des requêtes en temps réel sur un graphe comportant plus de 200 milliards de nœuds formant plus de mille milliards de relations.
Des capacités de traitements et de requêtes de graphes rendues possibles par Neo4j Fabric, une technologie qui permet de diviser des ensembles de données volumineux, sans limites et sans compromettre la performance. Le système adapte aux bases graphes des principes de partitionnement connus de longue date sur les SGBDR. « Neo4j est ravi d’ouvrir la voie dans la mise à l’échelle des graphes et ce, sans compromis. Aujourd’hui, il est possible de partitionner un ensemble de données interconnectées et d’en assurer la mise à l’échelle en un temps de réponse record avec des requêtes de graphes complexes sur des trillions de relations, des centaines de téraoctets et des milliers de machines. Cet exploit est le résultat d’années de R&D et nous sommes impatients de voir les organisations intégrer cette innovation. »
De telles capacités de traitement ne servent pas qu’à battre des records. Elles sont d’abord là pour servir des besoins de clients. Neo4j dévoile ainsi deux exemples parlants. Meredith Corporation réalise du classement d’informations à partir d’un graphe comportant 30 milliards de nœuds. ATPCO a mis en place un moteur de tarification alimenté par Neo4j pour établir les prix des billets d’avion qui s’appuie sur Neo4j et de nombreux traitements de données complexes invoquant plus de 100 milliards de permutations de produits.