A l’heure de la nécessaire transformation numérique, les réseaux sociaux d’entreprise (RSE) constituent le « socle » indispensable et doit s’accompagner d’un fort changement culturel.
« Si mise en place d’un RSE n’aboutit pas, il faut en chercher des raisons d’ordre culturel et non liées aux fonctionnalités de la solution, met en garde Arnaud Rayrole en présentant la 8e édition de son étude sur les RSE intitulée « Équiper et stimuler son organisation pour se transformer ». Fruit d’un travail de fond représentant une centaine de jours/homme, cette étude ne vise pas à « remplacer les précédentes mais à appoorter de nouveaux éclairages ». En accompagnement de cette étude, Lecko a fait réaliser une enquête par le cabinet OpinionWay auprès de 850 managers d’entreprises de plus de 50 salariés de laquelle il ressort que 58 % utilisent un RSE avec une augmentation du niveau moyen d’engagement.
Dans cette transformation, les managers intermédiaires qui en constitue le moteur, déclarent en grande majorité comprendre la stratégie numérique (89 %). Cette stratégie vise en priorité la conception et le développement des produits et services dans 69 % et ensuite l’interne dans 57 % des cas.
Dans son étude, Lecko a positionné la trentaine de solutions du marché selon 5 dimensions et 2 axes de représentation et les a analysés à partir de 550 critères fonctionnels et techniques. Du côté des premières, on trouve la productivité, la diffusion et la circulation de la l’information, la gestion des connaissances, l’ouverture à l’externe et la collaboration au service de processus. Concernant le second, il s’agit des bénéfices individuels ou de groupe et des bénéfices à court ou à long terme ? Il en ressort 5 schémas qui s’inspirent de la démarché du quadrant magique du Gartner (voir ci-dessous).