Avec le développement de l’imagerie médicale en 3D, une révolution silencieuse agite hôpitaux et centres de recherche. Mais si les techniques se répandent et si elles s’améliorent constamment, elles ont aussi leurs limites. C’est désormais en les combinant que l’on parvient à passer de nouvelles étapes. Dernier exemple en date : la technologie TEP-IRM, issue de deux technologies très différentes, l’une bien connue du public et l’autre plus confidentielle. La plus ancienne est l’imagerie par résonance magnétique (IRM), qu’on utilise depuis plusieurs décennies. La seconde, développée plus tardivement, est la tomographie à émissions de positons (TEP), que l’on désigne le plus souvent par la formule anglaise PET Scan.
Pour lire l’article du site ParisTech Review