Pour permettre aux entreprises de mieux exploiter leurs données, la start-up française mise abondamment sur le Machine Learning et l’automatisation pour proposer un data catalog nécessitant très peu d’intervention humaine. De l’exploration à la classification sans oublier la fiabilité…tout est automatisé.
Dans un monde où savoir exploiter ses données est plus jamais synonyme d’avantage concurrentiel, l’heure n’est plus à la cartographie manuelle pour identifier les gisements existants dans l’entreprise avant de pouvoir les exploiter. D’autant que les sources de données ne cessent de se multiplier et que l’information évolue en permanence : le temps d’effectuer une cartographie, elle est déjà obsolète.
Dans une chaine data qui embarque toujours plus d’automatisation et d’intelligence, cette identification des actifs de données a longtemps été le point d’achoppement, les utilisateurs passant plus de temps à chercher des données qu’à les utiliser. L’essor des Data Catalogues pourrait mettre fin à cette problématique, surtout quand ils sont dopés au Machine Learning et à l’automatisation à outrance. Et c’est précisément l’objectif que s’est fixé la jeune start-up française Zeenea avec son concept de « smart data catalog ».
Une vision inspirée du fonctionnement des marketplace

Zeenea s’inspire également de l’approche Google pour réaliser une indexation à plat des informations présentes dans l’entreprise avant d’essayer de les relier entre elles. « Autrement dit, on oublie les grands projets de classification à la Yahoo, on mise tout sur la technologie pour retrouver rapidement l’information et l’enrichir d’éléments de contextualisation métier nécessaires à son exploitation », explique le CEO de la société. Pour ce faire, Zeenea utilise abondamment des algorithmes de Machine Learning pour taguer les données (personnelles, Solvency II, sensibles, etc.), estimer leur degré de fiabilité ou encore les relier à des concepts métier.
Une interface adaptative






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